La Grande Hermine, navire-école rattachée au centre d’instruction naval de Brest, fait escale à Lanildut, commune marraine du bateau. Cette yawl lancée en 1932, au chantier naval de Marseille, a été rachetée en 1963 par la Marine nationale, et sert à l’instruction à la manœuvre des voiles et à la navigation des élèves du groupe des écoles du Poulmic depuis juin 2000.

Du 4 au 7 juin 2019, le chasseur de mine tripartite (CMT) Croix du Sud, escorté par la frégate anti-sous-marine (FASM) La Motte-Piquet ont participé à un entraînement avancé « Tamouré » au large de Belle-Ile. Préparé par l’État-major de la force d’action navale, cet entraînement vise à mettre en œuvre les armes en situation opérationnelle afin d’éprouver les organisations internes des bâtiments. Le comportement des équipages est évalué dans un contexte d’incertitude, d’inconfort et de stress lors de cet entraînement et permet de tester également leurs capacités à répondre à différentes menaces auxquelles ils peuvent être confrontés.

A l’occasion de l’évènement « ARMADA 2019 », les goélettes Belle Poule et Étoile ont remonté la Seine pour s’amarrer au cœur du port de Rouen. Elles ont accosté au milieu des navires à voile de tradition et des bateaux de guerre, dont la FREMM Bretagne, symbole de la modernité et du renouvellement de la flotte de surface. Le patrouilleur de service public Pluvier, témoignant de l’engagement de la Marine dans le domaine de l’Action de l’État en Mer était également présent.

Le 3 juin 2019, la TF 473 formée autour du porte-avions Charles de Gaulle quittait Singapour pour son quatrième mois de déploiement. Cet appareillage marquait également la passation de commandement du groupe aéronaval, prévue de longue date, entre le vice-amiral Lebas et le contre-amiral Aussedat.

Le remorqueur Taape de la marine nationale a effectué une escale de 3 jours dans le port de Bar au Monténégro.

« La décroissance de la Marine nationale à Brest, c’est terminé ! ». Le préfet maritime Jean-Louis Lozier, commandant également l’arrondissement maritime Atlantique, confirme le coup de fouet donné par la dernière loi de programmation militaire. Et divulgue au passage deux ou trois innovations qui vont compter.

Comme prévu, le Dixmude est arrivé ce jeudi au Liban, indique un communiqué de l’Armée Libanaise. Il devrait rester au Pays des Cèdres quelques jours, avant de poursuivre son périple. Parti de son port d’attache Toulon le 4 juin et accompagné par la frégate Guépratte, le navire devrait mener des manœuvres militaires conjointes avec l’Armée Libanaise. Cette opération, nommée « Cèdre Bleu » a été initiée en 2009 avant d’être interrompue en 2013 suite à la dégradation de la situation dans la Méditerranée Orientale.

Le 12 juin 2019, le lieutenant de vaisseau Jean-Christophe Dherbécourt a été reconnu comme premier commandant du PAG par le contre-amiral Thierry Catard, adjoint à Brest de l’Amiral, commandant la force d’action navale.

Du 5 au 11 mai 2019, les 120 stagiaires de la Préparation Militaire État-Major (PMS EM), promotion Amiral Jean-Marie Querville étaient à Toulon, où ils ont effectué leur période bloquée. Au cours de la semaine, les stagiaires ont eu l’opportunité de visiter de nombreux bâtiments notamment le Porte-hélicoptère amphibie (PHA) Mistral, la Frégate type La Fayette (FLF) Aconit, le Patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Ducuing, le Chasseur de mines tripartite (CMT) Capricorne et un Sous-marin nucléaire d’attaque (SNA).

Du 4 au 6 juin 2019, la FREMM Bretagne était déployée en Manche dans le cadre du 75ème anniversaire du Débarquement. En tant que commandant tactique de la TF 474, elle a coordonné avec succès l’ensemble du dispositif particulier de sauvegarde maritime (DPSM), au large des principaux sites mémoriels de la Bataille de Normandie.

Le groupe Jeanne d’Arc, composé du porte-hélicoptères amphibie Tonnerre et de la frégate La Fayette, a participé dimanche à des exercices de type Passex avec des bâtiments de la marine mexicaine.

Un député du Vanuatu a critiqué les responsables des affaires étrangères pour avoir refusé l’escale d’un navire de la marine française, affirmant que l’incident prive certaines îles périphériques d’un développement indispensable.

Construit par le chantier Gléhen de Douarnenez (Finistère), ce nouveau type de pousseur « PC6 » est le premier d’une série de sept, qui équipera bientôt les ports de Dégrad-des-Cannes (Guyane), Brest (Finistère), Cherbourg (Manche) et Toulon (Var).

Par un arrêté du ministre des armées publié ce jeudi au Journal Officiel, l’amiral Christophe PRAZUCK, chef d’état-major de la marine, est maintenu à son poste jusqu’au 31 aout 2020.

Le groupe aéronaval rassemblé autour du porte-avions Charles de Gaulle a rencontré le 7 juin le navire d’assaut amphibie américain USS Boxer pour une série d’exercices en mer d’Andaman.

Son Altesse Sheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, prince hériter d’Abou Dhabi et vice-commandant suprême des forces armées des Emirats-Arabes-Unis, a reçu lundi 10 juin le chef d’état-major de la marine, l’amiral Christophe Prazuck, et revu avec lui les perspectives de coopération militaires à un niveau plus élevé.

Son métier a été mis en lumière par le film sorti en 2019 intitulé Le chant du loup. Dans un sous-marin militaire, François Civil y campait le rôle de Chanteraide, oreille d’or de l’équipage, casque vissé sur les oreilles, en charge de décrypter les bruits sous l’eau. Leur but ? Repérer l’ennemi pour l’éviter.

Quelques éclaircies dans une navigation un peu brumeuse. Si le projet du futur porte-avions français, lancé en octobre dernier par la ministres des Armées, n’en est qu’à sa phase d’étude, certains indices annoncent l’ampleur du successeur du Charles-de-Gaulle. À en croire le hors-série de Science&Vie publié à l’occasion du salon du Bourget (du 17 au 23 juin) et dont le site Zone militaire se fait l’écho, le futur porte-avions français devrait surclasser l’actuel, déjà par la taille de son pont d’envol – les pistes de décollage et d’atterrissage – et de celle des ses hangars. La raison aux futurs remplaçants des fameux Rafale.

Pour sa première édition depuis 2013, l’exercice franco-libanais Cèdre Bleu va engager un volume de forces inédit. Pas moins de 1000 militaires français et libanais vont participer à ces manœuvres, qui se dérouleront du 17 au 22 juin au large et sur les côtes du Liban. La pièce maîtresse du dispositif sera le porte-hélicoptères amphibie Dixmude, qui a appareillé de Toulon le 31 mai avec d’importants moyens. En plus de son équipage et de sa batellerie, constituée d’un engin de débarquement amphibie rapide (EDAR) et deux chalands de transport de matériel (CTM), le PHA de la Marine nationale embarque des détachements de plusieurs unités de l’armée de Terre.

Depuis le 5 mars, le GAN est en mer, multipliant les exercices avec des marines alliées (Australie, Canada, Etats-Unis, Inde, Japon, Singapour), dans l’océan Indien en particulier et en mer d’Andaman.

Mercredi, aura lieu à Saint-Malo (35), le baptême du patrouilleur Antilles Guyane La Combattante en présence de Philippe Gobert, président de la Socarenam, chantier naval basé dans la cité corsaire ainsi qu’à Calais, Boulogne-sur-Mer et Dunkerque.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la Marine nationale a accosté dans le Loiret. Elle propose une préparation militaires à des jeunes issus de la région. Loin de la mer, Orléans n’en forme pas moins des marins ! Trente-six jeunes de la région, dont 19 du Loiret, âgés de 16 à 21 ans, achèvent leur Préparation militaire marine. Une cérémonie est d’ailleurs prévue ce samedi 8 juin.

Les 20 stagiaires, promotion 2018-2019, de la Préparation Militaire Marine de Morlaix, qui fêtait son 10e anniversaire, ont reçu, samedi 8 juin, leur insigne et leur brevet, au cours de la cérémonie qui s’est déroulée dans la cour d’honneur de Kernéguès.

Samedi 8 juin 2019, les équipes de rugby féminines de la British Army et de la Marine nationale se sont affrontées dans le cadre du 2e challenge Violette-Szabo, à Cherbourg-en-Cotentin. Vaincues en 2018, les Bleues se sont, cette fois, imposées 12 à 10.

La guerre des mines, version drone, est devenue réalité à Brest. Thales a validé un système unique au monde qui permet de détecter et traiter les mines sous-marines à distance. Français et Anglais se retrouvent dans le même bateau. Enfin d’ailleurs, à terme, sans personne à bord !