INSTRUCTION N° 494/ARM/CAB relative à l’organisation, aux missions et aux modalités d’exercice des missions de la « cellule Thémis ».

Cette publication a un commentaire

  1. Anonyme

    En cas d’agression sexuelle, la victime présumée est souvent en état de sidération, dissociation, amnésie, paralysie, disjonction : traumatique – le paragraphe 1.2.2. « saisie indirecte » est donc pertinent…
    Il est effectivement utile d’orienter les victimes auprès de praticiens, experts : spécialisés, « formés », à la victimologie et/ou à la psychotraumatologie… afin d’éviter toute éventuelle erreur de diagnostic…
    A noter, liste non exhaustive : l’article 36 du décret n° 2008-967 du 16 septembre 2008 fixant les règles de déontologie propres aux praticiens des armées et les articles 33 et 106 du Code de déontologie médicale (article R.4127-33 et R.4127-106 du code de la santé publique)…
    Indiquons par exemple deux associations : l’Institut de Victimologie (institutdevictimologie.fr) à Paris (17ème) et Mémoire Traumatique et Victimologie (mémoiretraumatique.org) etc.
    Retraité.

Les commentaires sont fermés.

À lire également