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Cette publication a un commentaire
En cas d’agression sexuelle, la victime présumée est souvent en état de sidération, dissociation, amnésie, paralysie, disjonction : traumatique – le paragraphe 1.2.2. « saisie indirecte » est donc pertinent…
Il est effectivement utile d’orienter les victimes auprès de praticiens, experts : spécialisés, « formés », à la victimologie et/ou à la psychotraumatologie… afin d’éviter toute éventuelle erreur de diagnostic…
A noter, liste non exhaustive : l’article 36 du décret n° 2008-967 du 16 septembre 2008 fixant les règles de déontologie propres aux praticiens des armées et les articles 33 et 106 du Code de déontologie médicale (article R.4127-33 et R.4127-106 du code de la santé publique)…
Indiquons par exemple deux associations : l’Institut de Victimologie (institutdevictimologie.fr) à Paris (17ème) et Mémoire Traumatique et Victimologie (mémoiretraumatique.org) etc.
Retraité.
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