« Bonjour Maître, c’est pour un renseignement, pour vos honoraires pour un divorce amiable, on est d’accord sur tout, on a tout partagé, c’est un divorce simple, on est d’accord sur tout, on a pas d’enfant, on a vendu la maison, on a plus rien, c’est simple très simple, on est d’accord, quel est le prix pour un divorce ? »
Je pense que je reçois un appel par jour du même ordre avec le fameux « c’est combien » qui me ramène étrangement au plus vieux métier du monde que je n’exerce pas, le métier d’avocat datant seulement à 1273 (source, barreau de Paris: un peu d’histoire).
Au delà de ce sentiment désagréable d’être prise pour ce que l’on est pas, il y a la réalité du soit disant divorce simple, si simple tellement simple que les époux ou l’époux qui nous appelle pourrait presque se passer d’un avocat.
Suite de la conversation de ce divorce pas compliqué, vous comprenez car ON EST D’ACCORD :
L’avocat : « Madame, vous êtes mariée depuis combien de temps ? »
Madame Simplette: « Depuis 19 ans »
L’avocate : « Vous avez conclu un contrat de mariage ? »
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Maître Michele BAUER
- Droit du Travail Salarié
- Droit Social