Revue de presse du 3 janvier 2013

Centrafrique : un mois après son lancement, l’opération «Sangaris» peine à sécuriser Bangui

«Sangaris» devait être rapide et discrète. L’armée avait choisi de lui donner le nom d’un papillon. Il eût mieux valu celui d’une bête plus dissuasive. Près d’un mois après son lancement, les soldats français sont présents partout dans Bangui, s’interposant entre les communautés ou entre les milices, pour apporter un rien de calme à la ville.

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Centrafrique : la diplomatie et l’armée françaises contraintes de réviser leur stratégie

Centrafrique : les armes circulent même dans les camps

VIDEO. Centrafrique : en patrouille avec des soldats français à Bangui

Armée – Le retrait des soldats devrait s’intensifier au printemps

 

Chaque policier et gendarme porte désormais un numéro de matricule qui l’identifie. Est-ce une bonne initiative ?

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« Pour imposer le matricule, Valls est passé en force »

 

Les «responsabilités historiques» de la France en Afrique: qui peut encore les comprendre?

En visite au Mali et en Centrafrique en ce début d’année 2014, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a invoqué les « responsabilités historiques » de la France en Afrique pour justifier l’intervention de nos forces armées. Ce n’est pas son seul argument, mais ça en est un qu’il ne redoute pas d’utiliser. Pourtant, les risques à invoquer ce rôle historique de la France en Afrique ne manquent pas

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Dimensionnement de nos forces en Afrique. L Algérie un problème récurrent

Nous nous préparons à évoluer vers une logique régionale, pour faire face à la menace djihadiste dans l’ensemble de la zone – au Nord Mali, au Nord Niger, mais aussi dans le Sud libyen. C’est tout l’enjeu de l’action dissuasive que vous réalisez en liaison avec vos frères d’armes de SERVAL, au Mali mais aussi au Niger, au Tchad et au Burkina Faso. La menace de déstabilisation est partout – j’en veux pour preuve l’opération SANGARIS en Centrafrique. »

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