Les « Reco Air » … Une histoire inconnue de la MMFL (Par Roland Pietrini)

Savoir reconnaître à 100 mètres d’altitude, en une fraction de seconde, l’intérêt d’un détail était le privilège des observateurs confirmés et, surtout, le résultat de plusieurs années de travail et d’expérience…

….L’expérience se transmettait ainsi d’observateur à observateur, tous volontaires pour ce genre de mission, et la connaissance du terrain ainsi acquise, tant au sol qu’en vol, était unique et permettait d’obtenir des résultats du même niveau que ceux des Alliés.

L’exploitation de résultats demandait, au retour, un temps de travail beaucoup plus long que le temps de vol car il fallait analyser dans le détail et situer toutes les photos prises avant de rédiger la note de renseignement correspondant, avec les résultat essentiels….

 http://www.16va.be/vols_mmfl_part1_fr.html

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