Les gendarmes français ont encore quelques mois devant eux pour apprendre aux Afghans à déjouer les plans des poseurs d’engins explosifs commandés à distance. Leur carte maîtresse? Un laboratoire digne de la série télévisée «Les Experts», installé près de Kaboul, la capitale afghane.
Quand sa tâche sera achevée fin mai ou début juin, le colonel de gendarmerie Jean-Pierre Chenel rejoindra sa femme et ses filles dans leur maison du Finistère. Depuis la fermeture de leur base à Mazâr-e Sharîf, les effectifs de la gendarmerie en Afghanistan ont été réduits de 200 à environ 80 hommes, dont une quarantaine est encore déployée dans la zone du Wardak. Conseiller du patron de «l’Afghan National Civil Order», Chenel estime que l’action de ses hommes a permis de sécuriser les axes du désengagement par lesquels les Forces françaises se sont repliées de la province de Kapisa où elles avaient pris position depuis 2008….
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