De nombreux adhérents et sympathisants s’étonnent du silence de l’ADEFDROMIL suite à l’affaire Le Tohic.
Soyez rassurés, l’ADEFDROMIL mettra en ligne dans les jours qui viennent tout ce que le commandement ou la presse ne vous ont pas dit.
D’ores et déjà, vous devez savoir que Michel Bavoil, Président de l’ADEFDROMIL et Maître Gérard Ducrey, avocat de l’ADEFDROMIL et de Régis Le Tohic ont été dépêchés sur le site de Connentray le dimanche 5 décembre 2004 à la demande du GIGN.
Maître Gérard Ducrey, après quelques minutes d’entretien a convaincu Régis Le Tohic de sortir de la soute à munitions. Sa sortie s’est faite dans la dignité grâce aux ordres donnés par le Commandant du GIGN. Pas question de se saisir de l’adjudant par la force, pas question de lui passer les menottes.
C’est pourquoi nous tenons dès à présent à saluer le grand professionnalisme des membres du GIGN. D’ailleurs, le calme, le sang froid et la bonne humeur permanente du Commandant du GIGN contrastaient avec la grise mine des autorités civiles et militaires sur place.
Mais ce qui est certain, c’est que l’adjudant Le Tohic n’a jamais menacé de faire sauter quoi que ce soit, contrairement à ce qui a été dit ou écrit içi ou là. De ce point de vue, la gestion médiatique de cette affaire par le ministère de la défense a été lamentable. Il y a des moments où la grande muette ferait mieux de rester muette !
En tout état de cause, Régis Le Tohic n’a rien à faire en prison ! Les chefs d’inculpation ne coïncident pas avec la matérialité des faits. Il doit être libéré !
En tout cas, c’est ce que va demander Maître Gérard Ducrey cette semaine à la chambre d’instruction.
Dès à présent, vous pouvez nous faire parvenir vos messages de soutien et de sympathie à l’adjudant Le Tohic.
La rédaction
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