Le 15 décembre, un Atlantique 2 de la Marine Nationale s’est posé sur la base aérienne projetée de Niamey, au Niger. Son équipage va œuvrer pendant plusieurs mois au profit de la force Barkhane. Appareil à l’origine de patrouille maritime à long rayon d’action, l’avion Atlantique (ATL2) est cependant régulièrement engagé au Sahel au profit de l’opération Barkhane. Dans cette configuration, il appuie les opérations des forces terrestres.

Pour les opérateurs de sonar, l’écoute est une forme d’art. Ils doivent non seulement écouter, mais aussi interpréter ce qu’ils entendent pour déterminer ce qui se trouve dans les eaux environnantes – surtout si ce qu’ils entendent peut être un sous-marin ennemi.

Fin novembre, près de deux mois après leur arrivée au cours de formation initiale d’officier marinier (FIOM), les 190 élèves des sessions 2019.2 (81 élèves) et 2019.3 (109 élèves) de l’antenne de l’Ecole de Maistrance à Saint-Mandrier ont embarqué respectivement à bord des porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre et Mistral. Durant ces deux périodes de 5 jours en mer au programme d’activité riche, l’implication de chacun a été le maître-mot.

Un navire de guerre capable de mener le feu de l’action sur la terre ferme. Ce bateau se nomme Pyotr Morgunov et il est testé en ce moment-même par la marine russe dans la mer Baltique. “L’équipage à bord testera tout les système de navigation et d’armement lors de cette phase d’essai. La construction d’un autre modèle, le Ivan Gren, a déjà été terminée mais le bateau souffre de quelques défauts”, ont indiqué les autorités russes. Mais de quoi est capable réellement ce bâtiment d’assaut amphibie ?

Jeudi 19 décembre 2019, dans la matinée, le bâtiment hydrographique et océanographique de la Marine nationale a quitté le bassin N° 3 de l’arsenal de Brest (Finistère). Son arrêt technique va se poursuivre à quai. Sa mise en disponibilité est prévue le 28 décembre.