A bord de la frégate Germinal de la marine nationale, les spécialistes de la lutte anti-drogue, ont arraisonné hier (20 avril) un bateau dans le sud de la Martinique, en provenance de Saint-Vincent. Les quatre occupants sont en garde à vue et 700 kilos d’herbes de cannabis ont été récupérés.

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Après la visite de 2 bâtiments-école au début du mois, 2 nouveaux bâtiments de la marine nationale vont faire une apparition dans le port de Dublin. Ils ne seront pas ouverts à la visite du public.

La frégate Cassard et le BCR Var doivent arriver ce vendredi à Dublin. Le Cassard devrait arriver dans la matinée, et le Var à l’heure du déjeuner.

Les visiteurs français seront tenus loin de l’attention du public : la frégate sera remorquée dans le bassin Alexandra. Le Var sera amarré à l’Ocean Pier.

A l’occasion de son premier déplacement en France, l’Amiral d’escadre Leal Ferreira, Commandant de la marine du Brésil, s’est entretenu avec le CEMM le 18 avril à Balard. Leurs échanges ont été très chaleureux, à l’image de la relation entre les deux marines, marquée par un grand niveau de confiance : la marine nationale est considérée comme un modèle au Brésil.

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En mars 2016, le positionnement de la Frégate Multi Missions (FREMM) Provence au large de Djibouti a permis de réaliser un exercice Tarpon – mise en place d’un groupe de commandos-marine en haute mer par parachutage depuis un avion de l’armée de l’Air, pour rallier directement et en toute discrétion un lieu d’opération ou un bâtiment base. La FREMM a ainsi joué le rôle de bâtiment base au profit des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

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Jeudi 14 avril 2016 à 06h00, le MN Tangara entrait au port de Papeete. Ce navire mis en œuvre dans le cadre d’une voie maritime affrétée (VMA) par le MINDEF a déchargé en import 275 tonnes de fret (environ 2100 m3) et rechargé en export 312 tonnes de fret (environ 200 m3) en 13 heures.

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Le jeudi 07 avril dernier, le Maroa a réalisé un exercice de mouvement de citerne dans le port de Papeete. Les remorqueurs Maroa et Manini, admis au service actif respectivement en 1984 et 1985 sont les véritables chevaux de labour de la base navale de Papeete.

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La piraterie maritime n’épargne aucun pays. Généralement en Afrique, les pays sont très peu préparés à ce genre de situation et les interventions ne sont pas souvent à la hauteur des attaques. Depuis ce mardi 19 avril, la marine française soutient des exercices sur la côte togolaise pour pallier le phénomène.

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Depuis plus de six semaines, la frégate antiaérienne Jean Bart assure la composante maritime de l’opération Chammal en Méditerranée orientale, nom du contingent français intégré à l’opération Inherent Resolve.

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Le 13 avril 2016, l’Atlantique 2 (ATL2), déployé sur base aérienne projetée (BAP) en Jordanie, a réalisé une mission, à la demande du Centre des opérations aériennes de la coalition (CAOC), de recherche de renseignements sur des points précis en Irak.

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Le vendredi 15 avril la frégate Latouche-Tréville a officialisé son parrainage de la PMM de Brest, dans le cadre prestigieux du musée de la marine de Brest.

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En avril 2016, à l’occasion d’une escale à Beyrouth, la frégate antiaérienne Jean Bart s’est entrainée pendant deux jours avec la marine libanaise. Après un exercice de plongée commun, le Jean Bart a participé à une série d’entrainements au large de la capitale alors qu’un commando des forces armées libanaises (FAL) simulait une intervention de vive force contre la frégate.

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Le contre-amiral Benoit Lugan, commandant de l’École navale, embarqué à bord du voilier-école Belle Poule, est arrivé le dimanche 10 avril à Marin (Galice) pour une visite de deux jours à son homologue espagnol. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des programmes d’échanges entre écoles navales de pays amis et alliés, pour renforcer les liens d’amitié et de coopération.

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Dans le cadre de la 4ème édition de la manifestation maritime « Escale à Sète », rassemblant quelques-uns des plus beaux voiliers historiques, le CMT Lyre a accosté le 25 mars dernier au Quai de la République transformé pour l’occasion en village « Marine ».

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Le 12 avril 2016, à l’accostage des deux bâtiments de la mission Jeanne d’Arc à Cochin, les équipages et officiers-élèves, au poste de bande, ont répondu, en musique, à l’accueil des Indiens. Monsieur Christian Testot, ministre conseiller à l’ambassade de France en Inde, a ainsi souligné l’importance du dialogue stratégique entre les marines indienne et française. « Votre présence ici en atteste ! ».

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Dans un scénario des plus réalistes, le Maritime Component Command (MCC) de la force expéditionnaire interarmées franco-britannique (CJEF) a mené une opération amphibie d’envergure sur les côtes de Cornouailles le 14 avril 2016. Après une première phase de mécanisation, cette opération vise à renforcer l’interopérabilité des unités franco-britannique engagées dans cet exercice organisé en Grande Bretagne du 10 au 23 avril 2016.

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Le 29 mars 2016, honorant le contrat opérationnel de sécurisation des approches maritimes au large des Saintes Maries de la mer, le chasseur de mines Lyre a découvert une première mine. La Lyre procédait alors à une tâche de levé de fond basée sur des archives de plans de mouillage de mines allemandes.

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L’exercice Gabian 16.01 a été l’occasion pour le CMT Lyre de poursuivre son entraînement dans le domaine de la guerre des mines. Diverses actions furent menées dont une moins fréquente : l’emploi du PAP cisaille sur mine à orin d’exercice suivi d’une neutralisation du flotteur par tir 20mm.

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Clémence Lebreton termine sa période de Préparation militaire marine (PMM) à Brest. Elle envisage de devenir infirmière militaire.

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Il y a sur la mer « une manière d’être et une façon de faire » tant pour profiter de ses loisirs en sécurité que pour progresser ensemble sur la question permanente de la sauvegarde de la vie humaine

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Avec l’augmentation de la présence des sous-marins russes dans l’Atlantique, parfois près des côtes françaises, cette zone redevient un théâtre d’opérations à part entière, et les capacités de lutte anti-sous-marine (ASM) une priorité.

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Un exercice de lutte contre les pollutions en mer, baptisé « RAMOGEPOL 2016 », est organisé le 27 avril 2016 par la préfecture maritime de la Méditerranée, la Principauté de Monaco et l’Italie avec la participation de la préfecture du département des Alpes-Maritimes.

Le thème retenu pour l’année 2016 est la collision fictive entre un navire pétrolier et un navire roulier à 7 nautiques au large de Monaco/Cap-Martin. Cette collision occasionnera une brèche, puis un déversement important d’hydrocarbures lourds. Deux opérations sont engagées pour porter assistance à un navire en difficulté (remorquage d’urgence) et pour lutter contre une pollution en mer.

Deux équipages de chalutiers vont participer à cet exercice. Ils seront formés par le Centre d’Expertises Pratiques de Lutte Antipollution (CEPPOL) de la marine. Basé à Brest, le CEPPOL a un rôle central et national pour la lutte en mer contre tous les types de pollutions et pour le conseil d’expert au profit du Préfet maritime. Dans le domaine technique, il est responsable de la formation du personnel chargé de la mise en oeuvre des matériels et produits de lutte.

Le 26 avril 2016, le Bâtiment de Soutien, d’Assistance et de Dépollution « Jason » sera à quai à Nice entre 08h00 et 12h00. C’est avec son soutien que les marins pêcheurs seront invités à suivre la formation prévue pour cet exercice.

Source : Préfecture maritime de la Méditerranée

Le premier WE d’avril, le BHO Beautemps Beaupré se dirigeait vers Toulon pour effectuer le changement d’équipage, du A vers le B. Pendant ce temps, notre équipage B prenait l’avion à Landivisiau. Le voyage en Transall de l’armée de l’air jusqu’à Istres puis en bus jusqu’à Toulon s’est très bien passé. Conscients d’avoir échappé à 20 heures de route, nous n’en étions que plus soulagés d’arriver en si peu de temps. Nos bagages avaient suivi, donc pas de souci.

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Avant son grand départ le mois prochain vers la Nouvelle-Calédonie, le premier bâtiment multi-missions de la Marine nationale va passer en cale sèche dans la forme 2 du site DCNS de Lorient. Réalisé par Piriou, le D’Entrecasteaux n’a pas pu passer en carénage à Concarneau, un patrouilleur marocain occupant actuellement la forme du port finistérien dans le cadre d’un contrat de maintenance réalisé par Piriou. DCNS, allié au groupe concarnois au travers de leur société commune, Kership (qui porte le programme B2M), a donc mis à disposition la forme 2 de son site de Lorient. Le bâtiment y restera environ un mois puis, après un bref passage à Brest, partira vers sa base de Nouméa, où il sera opérationnel cet été.

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Les forces navales de 34 pays se concentrent sur les menaces maritimes que font peser des groupes terroristes comme al-Qaida, l’état islamique et même les rebelles Houthi du Yémen lors du plus grand exercice maritime au monde.

Les menaces que font peser des engins explosifs improvisés implantés en mer se développent rapidement. Aucune chance n’est laissée de côté dans l’édition de cette année de l’exercice IMCMEX (International Mine Countermeasures Exercise) qui se déroule depuis le 4 avril dans le golfe Persique, le golfe d’Oman et en mer Rouge, explique le vice-amiral Kevin Donegan, commandant américain des forces de la région.

« Nous pensons que les menaces impliquant des acteurs non-étatiques sont réelles et que, en organisant cet exercice, nous pouvons aider à les surmonter. Nous pensons à des acteurs non-étatiques qui ont la possibilité de s’attaquer au trafic maritime : depuis al-Qaida à ISIS et même aux Houtis, » a déclaré Donegan.

« Tous ont les capacités nécessaires pour lancer des attaques dans le domaine maritime, » ajoute-t-il.

« Les groupes terroristes internationaux les plus importants sont conscients de l’importance économique et stratégique du commerce se déroulant dans et autour de cette région. Ils connaissent parfaitement les vulnérabilités du transport maritime, qui ne peut éviter détroits et points de passage. Ils sont aussi conscients de l’attention disproportionnée par les médias qu’une attaque maritime spectaculaire provoquerait, » explique le Commodore William Warrender, de la Royal Navy, qui dirige l’exercice.

« Le terrorisme maritime nécessite des connaissances et des équipements moins répandus que le terrorisme sur terre, » explique Warrender, « et les difficultés techniques ne sont pas toujours dissuasives ».

Selon le capitaine de vaisseau Jean-Christophe Oliéric, chef de l’état-major de conduite des opérations de guerre des mines de la marine nationale, la menace des engins explosifs improvisés implantés en mer existe en Méditerranée, en particulier dans le sud.

La menace des des engins explosifs improvisés implantés en mer est « compliquée à gérer parce que nous n’avons pas beaucoup de renseignements sur ce sujet, mais ce que nous savons est que certaines techniques ont été développées à terre et qu’elles pourraient être facilement utilisées en mer, » a-t-il déclaré.

« Nous en sommes conscients et nous prenons des précautions quand nous déployons des navires en Méditerranée, en particulier dans le sud, » a-t-il ajouté.

Selon l’amiral Donegan, cette région donne de bonnes opportunités d’entraînement, puisqu’elle réunit 3 des 6 principaux points de passage maritimes : le canal de Suez, le détroit de Bab Al Mandeb et le détroit d’Ormuz.

« Près de 20% du pétrole transporté dans le monde emprunte le détroit d’Ormuz. Imaginez l’impact sur l’économie mondiale si, soudain, ce pétrole ne pouvait plus passer. Cette région est très importante pour la stabilité de toute la planète, » indique-t-il.

Au cours de l’exercice, les participants vont exécuter un large éventail d’actions défensives destinées à protéger le commerce maritime : lutte contre les mines, opérations de sécurité maritime et protection des infrastructures maritimes.

L’exercice se déroule jusqu’au 26 avril.

Depuis le 7 avril dernier, le bâtiment de projection et de commandement Dixmude se met à l’heure anglaise. Après Corsican Lion 2015 – exercice préparatoire, il participe au large de l’Angleterre, à Griffin Strike, exercice de validation de la CJEF* : projet de corps expéditionnaire franco-anglais initié au lendemain des accords de Lancaster House (2010) entre la France et l’Angleterre.

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Dans le cadre de leur option « Défense », 22 élèves en classe de troisième au Collège Jean Giono de Manosque, accompagnés de leurs professeurs et cadres, ont pu passer deux jours à bord de la FASM Montcalm afin de découvrir le quotidien des marins embarqués. Accueillis en milieu de matinée par le Commandant, une visite du navire leur a permis de rapidement prendre leurs repères au sein de l’unité et de se mettre en condition pour jouer le rôle de plastron au cours d’un exercice d’évacuation de ressortissants l’après-midi même.

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