Le 6 juin 2014. Une commémoration mais pas uniquement (par François CHAUVANCY)

Semaine qui a mis la France en avant sur la scène du monde, tout en lui rappelant que, sans nos alliés, jamais notre pays n’aurait été libéré. Se préparer et faire ce qu’il faut pour que jamais cela ne se reproduise est un devoir premier de l’Etat même au XXIè siècle. L’appel à la paix universelle n’est pas suffisant.

Le souvenir de l’Homme providentiel était aussi là. Le général De Gaulle a évité que, pour se reconstruire, la France ne soit pas sous l’autorité d’un organisme étranger, l’AMGOT, cette fois dépendant des Etats-Unis. L’indépendance nationale a un prix et il faut savoir assumer cette responsabilité.

Une commémoration du 6 juin certes réussie…

Les commémorations du débarquement du 6 juin 2014 ont en effet été réussies. Peu de temps auparavant, le président de la République a tranché en faveur du maintien des orientations de la LPM. Du jour au lendemain, le débat a été clos. S’il avait perduré, commémorer une telle bataille et l’engagement des alliés en même temps que nous désarmions gravement aurait été un mauvais message. Pour être sûr que la communication n’ait pas été la seule priorité, la vigilance devra être maintenue.

Que dire cependant sur ce 6 juin ?

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