Revue de presse du 26 mars 2014

France 2 : ‘L’Embuscade’ qui a tué dix soldats dont un Perpignanais /LE LIEN POUR REVOIR LE DOCU

Marie-Christine Penon le sait. Ce mardi, devant sa télé à Perpignan, la douleur qu’elle essaye de faire taire depuis 5 ans, va se réveiller, la submerger, peut-être plus cruelle encore qu’au premier jour. « Qu’importe ». Elle regardera la souffrance dans les yeux, à travers le documentaire de Jérôme Fritel diffusé à 22 h 50 dans Infrarouge sur France 2 et baptisée ‘L’embuscade’.

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Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des Armées en visite à Mailly le Camp

Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des Armées était en visite au Centac de l’Aube, à Mailly le Camp, hier.

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FELIN V1.3: ventilation et allègement pour diminuer l’engoncement et favoriser la gestuelle

A lire au JO du 26 mars, la réponse du ministre de la Défense à une question de François Cornut-Gentille  sur l’équipement des fantassins.

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Cyberharcèlement: les jeunes face au risque de suicide

Ces intimidations sur le Web ou par SMS, en sortant de la cour d’école, les fragilisent plus encore que le harcèlement « classique ».

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Alors, l’Union européenne combien de divisions ?

Les semaines se succèdent et les crises internationales persistent. Le « soft power » européen a trouvé ses limites, au moins pour l’instant, face au conflit limité ukraino-russe. L’Europe a sans aucun doute joué avec le feu en Ukraine sans en avoir les moyens, sans avoir finalement la crédibilité militaire pour appuyer sa stratégie d’influence. Elle a redécouvert que le « char et le soldat » constituaient un instrument de puissance tout comme le façonnage des opinions publiques. Autant l’Europe a pu faire croire à une volonté de l’ensemble de l’Ukraine à rejoindre l’Europe, autant la Russie a montré par son « smart power » qu’elle pouvait réinvestir un territoire historique sans faire une « guerre militaire » pour citer le général Beaufre.

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À l’aéroport de Pau, les gendarmes surveillent aussi ce qui vole

Ils sont onze. Huit sous-officiers et trois gendarmes adjoints volontaires pour une moyenne d’âge de 46 ans et un point commun : ils ont tous la passion de l’aéronautique. Basée à l’aéroport de Pau-Uzein, la brigade de gendarmerie des transports aériens (BGTA) a de multiples missions. Ses hommes ont été formés à l’école nationale de l’aviation civile et ont le brevet théorique de base de pilote.

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