Lorsque deux collègues entretiennent une relation dépassant le cadre professionnel, avec une certaine familiarité réciproque, le flirt n’est pas sanctionnable.
Selon un Arrêt de rejet de la Chambre sociale de la Cour de cassation rendu le 10/07/2013, lorsqu’une salariée se dit victime d’actes de harcèlement sexuel de la part de son supérieur hiérarchique, l’employeur doit bien s’assurer avant de prendre toute sanction disciplinaire, des circonstances dans lesquelles se sont déroulés les faits incriminés. En effet, une subalterne qui entretien un flirt avec son supérieur, répond à ses avances avant de faire marche arrière et l’accuser de harcèlement sexuel, n’est pas recevable dans ses accusations. Aussi, le licenciement pour faute du supérieur hiérarchique se trouverait frappé d’irrégularité, car sans cause réelle et sérieuse.
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