Loi de programmation 2014/2019. Une communication partiale et partielle
Hier sur antenne2, l’information majeure était la canicule, la polémique sur les vacances des ministres et 2 minutes 30 ont été consacré à la présentation de la LPM au conseil des ministres du 2 août, le commentaire du journaliste pseudo spécialiste mérite que l’on s’y arrête un instant : Moins d’homme plus de matériels.. Un budget préservé.. Sur d’autres médias le discours tient à peu près le même langage. Deux hypothèses peuvent être avancées : Soit les journalistes sont incompétents, soit ils servent le discours parfaitement calibré et habile du ministre de la défense. Et d’ailleurs je suis prêt à lui donner l’absolution à notre ministre, il fait le job, et plutôt bien tant il a conscience de marcher sur des œufs ou des charbons ardents au choix. Pour une fois je dirais que le dicod et ses communicants communiquent remarquablement et savent faire avaler la pilule en rassurant le vulgum pecus, qui faute de pouvoir comparer ce qui est comparable ne mesure pas la réalité du serrage de ceinture.
Nouvelle politique de Défense : une révolution chez les militaires ?
C’était sans doute le sujet le plus important présenté hier au Conseil des ministres : le projet de loi de programmation militaire 2014-2019. Il prévoit une certaine rigueur financière tout en prétendant « conserver intacte la capacité opérationnelle des armées »… Selon l’entourage du Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ce texte qui contient 37 articles, aurait été rédigé dans un contexte de « difficulté sans précédent depuis la dernière guerre mondiale » ! Avec ses nombreuses suppressions d’emplois, il est diversement apprécié !
Une armée française » aux capacités intactes «
Les armées vont devoir encore se serrer le ceinturon, mais la loi de programmation militaire ne sacrifie pas aux charges traditionnelles de la Défense.
La loi de programmation militaire n’échappe pas aux critiques
Le projet de loi de programmation militaire 2014-2019, présenté vendredi en Conseil des ministres, insiste sur la capacité opérationnelle intacte des armées malgré la rigueur budgétaire, mais soulève des critiques dans la classe politique ou les milieux militaires.
« Peu de fermetures » de casernes et de bases aériennes
Les fermetures de casernes et de bases aériennes seront annoncées fin septembre. Les casernes de Besançon où la base aérienne de Luxeuil sont-elles en lignes de mire ? Le sujet reste en tout cas délicat pour le gouvernement à l’approche des élections municipales de mars. Jean-Louis Fousseret et Michel Raison, les maires de Besançon et de Luxeuil se veulent confiants.
La loi de programmation militaire n’échappe pas aux critiques
Le projet de loi de programmation militaire 2014-2019, présenté vendredi en Conseil des ministres, insiste sur la capacité opérationnelle intacte des armées malgré la rigueur budgétaire, mais soulève des critiques dans la classe politique ou les milieux militaires.
Défense d’y toucher… ou presque
Dans l’entourage du ministre de la Défense, on se récrie : « Non, la France ne perd pas son rang ! » Pour preuve, les quatre objectifs fixés continueraient d’être remplis dans les années à venir: protection du territoire, capacité d’intervenir à l’extérieur, dissuasion et entretien d’une industrie de la défense. Mais le projet de loi de programmation militaire pour les cinq ans à venir, présenté hier, met la grande muette au régime sec.
Défense: fermeture « peu nombreuses »
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a assuré vendredi que les fermetures de sites prévues par la nouvelle loi de programmation militaire seraient « très peu nombreuses » et affecteraient « le moins possible » les forces opérationnelles.
La France ne rognera pas sur la dissuasion-Le Drian
La France n’envisage pas de réduire son système de dissuasion nucléaire à une seule composante malgré la nécessité pour ses armées de participer à l’effort de réduction des déficits, a déclaré vendredi Jean-Yves Le Drian.
Que prévoit la loi de programmation militaire ?
Le ministre de la Défense a présenté vendredi le projet de Loi de programmation militaire (LPM). Il prévoit une baisse des effectifs, et un effort en matière d’équipements.
Défense. L’Ouest pas épargné par la loi de programmation militaire
Le ministre de la Défense avait le sourire, jeudi après-midi. Dans la fraîcheur de son bureau de l’hôtel de Brienne, il savourait l’idée d’« une pause » toute proche.
Deux semaines de repos au terme d’une année où son ministère a clos une guerre en Afghanistan, en a lancé une autre au Mali, a poursuivi sa transformation, abordé de front le problème des soldes impayées et préparé, dans un contexte financier hautement dégradé, une loi de programmation militaire « crédible, réaliste, pragmatique ».
LPM: pas d’annonces de dissolution et restructurations à attendre ce vendredi
Jean-Yves Le Drian n’a rien d’un casse-cou mais il entame un exercice de funambule pour le moins périlleux en présentant ce matin les 37 articles du projet de Loi de programmation militaire 2014-2019. Il va devoir garder l’équilibre alors que les pressions viennent de toutes parts: collègues ministres qui critiquent la sanctuarisation du budget de la Défense, militaires ulcérés de faire les frais d’une nouvelle déflation des effectifs, élus locaux qui s’inquiètent des annonces de fermetures et autres dissolutions, équipementiers militaires aux carnets de commandes anémiés.
Le ministère de la Défense met en ligne les données issues du bilan reconversion 2012
Mobilité Défense a publié les données de son bilan reconversion 2012; ces données mises en ligne sur le site data.gouv.fr sont accessibles ici.
Brive : les militaires en ont assez des « jeunes » des cités !
Le moins que l’on puisse dire est que le traitement médiatique réservé aux affrontements de Brive-la-Gaillarde, il y a une quinzaine de jours, entre « jeunes » des quartiers sensibles des« Chapélies » ayant investi la piscine privée d’une résidence, et militaires du 126e RI habitant ladite résidence, suscite incompréhension et interrogations, comme en témoigne un émoi certain ces jours derniers sur les réseaux sociaux.