Cent cinquante mille militaires composent les forces de l’Otan en Afghanistan. Parmi eux, 4 000 français sont déployés dans la région.
Vers 20 h 30, samedi 19 février, un groupe constitué essentiellement de soldats du 7e bataillon de chasseurs alpins de Bourg-Saint-Maurice, appartenant à la base avancée de Nijrab, a été pris sous le feu d’insurgés solidement armés, à l’entrée du village de Landakhel, aux abords de la vallée d’Alasay, en Kapisa. Une arme antichar a frappé un véhicule de l’avant blindé (VAB), provoquant la mort d’un soldat de première classe.
On apprend sur le site de l’état-major des armées que le soutien médical était présent au sein de l’unité : « L’élément santé qui se trouvait avec l’unité est immédiatement intervenu pour leur prodiguer les premiers soins et un hélicoptère a été dépêché sur zone pour les évacuer. Malgré la rapidité des secours mis en place, un des militaires touchés a succombé à ses blessures avant son évacuation. »
L’Afghanistan exsangue
Il est le 54e soldat français mort en Afghanistan depuis le début de la présence française dans ce pays, qui est entrée dans sa dixième année. Un deuxième soldat, caporal au 132e bataillon cynophile de l’armée de terre de Suippes (Marne), a été très grièvement blessé aux membres inférieurs.
L’Élysée conclut son communiqué annonçant ce décès par ….
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