Seul, brisé par la hiérarchie, sans atteinte aux personnes ni aux biens, l’adjudant LE TOHIC qui a braqué les projecteurs de la France entière sur les dysfonctionnements de l’Institution Militaire le dimanche 5 décembre 2004, s’est spontanément remis aux autorités après un bref entretien avec son avocat parisien spécialisé dans la défense des Libertés Publiques, Maître Gérard Ducrey, le 6 décembre 2004 à 6 heures 45.
Immédiatement placé en garde à vue, il a été incarcéré à la Maison d’Arrêt de Reims (51) selon une Ordonnance datée du 7 décembre 2004.
Pourtant, dans l’armée, il existe des milliers de personnels abusivement notés et maltraités.
L’Adjudant ne mérite pas la détention.
Demandons sa libération.
Dites lui qu’il n’est pas seul et témoignez lui votre sympathie.
Ecrivez à contact@adefdromil.org ; son avocat lui communiquera votre témoignage.
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